Voilà bientôt ...

► Voilà bientôt un jour que je me suis infiltré chez les Alter Ego.
Ils n'ont pas encore compris que je n'étais pas qui je suis, mais que je suis qui je n'étais pas.

Les monstres costauds et les kamas continuent de m'obséder.
J'ai toujours été obsédé, mais le désir de transformer les monstres en drop puis en Mocassin devient intenable. Je vais rechuter.
Pour contenir mes pulsions, je me suis mis à l'élevage de Dragodinde. J'y comprend rien mais elles non plus, on a ça en commun elles et moi.
Merde l'une d'elle a chiée sur mes derniers mocassins !

J'ai réussi à battre un genre de koalak qui m'a aggro avant d'arriver au coin des dragodindes : il a transformé mon pote Skale en buisson, et m'enlevait 1/4 de mes PV par tour. Ben j'l'ai plumé quand même ! Na.
Par contre me suis fait écraser par des bworks alors que je voulais juste cueillir une ortie. J'ai mal au crâne maintenant.
Des bulbuissons banboutrucs de pandala, saloperie.
Des wabits furieux, plein de wabits furieux ! Un génocide entier.
Et le donjon des squelettes avec un membre de la guilde. J'ai gardé le Chafertu en souvenir.
Finis la soirée sur des sangliers des plaines.
Après je craft, je vends ce que je drop. Et ce qui se vend pas je le brise en runes et je le vends quand même !
J'ai réussi à me faire 30.000 kamas dernièrement, heureusement parceque les zaaps c'est cher !

Il va falloir que je retournes en Incarnam chercher des ressources pour augmenter mes métiers.
J'ai pas très envie mais bon. Sinon je demanderais à un cousin éloigné, on partage la même banque : compte familial.

satytruc a écrit:

Merde l'une d'elle a chiée sur mes derniers mocassins !

Pour la peine j'espère que tu l'as castrée au moins.
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Merci pour cette tranche de rire que j'ai eu en te lisant ^^

• Voilà bientôt DEUX jours ...

Que j'ai été capturé par les Altères de Trools.
Ils veulent me muscler pour m'arracher ma charcuterie d'la bidoche (soit disant pour fêter un level 200 en soirée "rosette rosé").

Mon cousin "Massa-Cra" m'a envoyé les ressources qu'il a drop de sa lointaine contrée. Grâce à ses deux heures de travail acharnée, j'ai pu prendre UN level en Bricolage.
Ce métier me gonfle mais si je veux jouer au droppeur de ressources j'aurais sûrement besoin de clefs en masse ......... Et d'une bonne masse.
Alors, pour me défouler, j'ai démonté PERSONNELLEMENT deux donjons : Scarafeuille et Batofu. Et un en fameuse fumeuse compagnie (TMTC ).
Grâce à cet acharnement contre des congrégations chaleureuses de mobs, j'ai pris 5 ou 6 kilos.
Puis j'ai monté mon métier Tailleur de 5 à 17 ; et Cordonnier 17 à 18 (car il fallait que les Mocassins restent prioritaires aux jupes).

Je rend ma plume à vous les studios.

Des fois je me demande pourquoi j'ai ri Keep up je trouve ça nice comme concept !

• Voilà bientôt ... voilà bientôt ? Mais qu'est-ce que le temps ?
  

"Je suis en r'tard, en r'tard !"

Il était une fois dans le petit monde des animaux, on se prélasse on s'aime, on se frotte le museau entre souris verte. Timorin le Serpentin rampe gaiment tête levée vers Léonard le Bourdard. Qui lui se rend chez Pierrette la plus vieille des Souris Verte. Tous trois se retrouvent pour un brunch au milieu des prés, profitent du soleil, qui soudain disparaît. Ne prêtant attention aux fluctuations d'une météo fragile, les voilà enfin mes nouveaux mocassins ! Fin !

On m'a dit de sortir couvert, c'est pourquoi j'ai approfondit me études au donjon des capottes larves où l'on déjoue les mauvais sorts ! J'étais au courant (on en trouvait sur Incarnam il y a bien dix ans), cependant mon allié lui ..... Heureusement il frappait bien : pour finir la capotte larve XXL qu'on trouve au fond du trou et qui est gorgée de vitalité.

J'ai aussi suivi discrètement Alzah pendant qu'il faisait le donjon des cafards, il ne m'a même pas vu !

Et j'ai fini par monter mon métier Alchimiste de 5 à 20

Spoiler:

C'est vraiment plaisant à lire ! Continu comme ça

Les cafards c'était facile, le ballot de paille lui par contre, sacrément coriace !

Edit : déjà dû remplacer des images au lien mort.

https://youtu.be/e_b4n2dz514?t=2405

Stylé !

Tu devrais faire un livre :3

J'adore !!! En plus d'être drôle, ce lipinpon est un poète !! \O/

Mais quel homme ! Je kiffe toujours plus

Wemewciements particuliews pouw :
Cwy-Stal et Zewen, sponsows officiels du Wa Wabbit.
Dauge, pouw sa complicité avec les Wabbits.



Ce livwe, édité aux éditions Altew'Natives, twouvewa sa place dans l'histoiwe du monde des douzes.
Il est le pwemiew livwe wabbit pownogwaphique qui ne contienne pas que des images et qui soit affilié à la famille wayale de l'île de Wa.
Il est d'autant plus impowtant de wappelew que peu de Wabbit savent liwe et encowe moins écwiwe.

Note de l'auteuw anonyme :
Il fallait que je témoignes de l'étwange histoiwe dont j'ai été témoins, lowsque @Alzahel m'a invité à la couw du Wa Wabbit. Il se peut que je ne sois plus jamais le bienvenue en tewwitoiwe Wabbit, mais apwès ces évènements, je ne le souhaitewais pas de toute façon.
Je wecommandewais aussi à quiconque de ne point se wendwe suw l'île des Wabbits lowsque le Pwintemps vient.





En pleine contemplation, le Wa Wabbit ne sentit pas awwivew son amant dewwièwe lui. @Alzahel se colla contwe son dos et laissa pewdwe ses mains dans les hanches duveteuses du Wa. "Ah, c'est toi" lui dit sa majesté "encowe une année fewtile pouw mon peuple, wegawde" : devant eux, des boules de poils en tous sens se livwaient à la gwande owgie pwintannièwe de la couw wayale. Des Tiwabbits avec des Wowabbits wencontwaient des pwoblèmes de taille, des Wabbits et des Black-Wabbits jouaient avec des cawottes, des Gwand-pa-wabbits couwaient apwès les Tiwabits-Kiafin ..... Quelques Lénald, enchainés, étaient à la mewcie de ceux qui les voulaient.
"Et nous" susuwa @Alzahel à l'oweille du Wa en commençant à la lui mowdillew. En wéponse, le Wa agitta sa queue touffue contwe son bwakmaw : "ouuuuh" ne pu se weteniw de gémiw Alzah.
Le Wa se wetouwna et, suw la pointe des pattes, vint embwassew @Alzahel. Leuws bwas entouwèwent leuw union et leuws pieds les entwénèwent vews un endwoit plus pwopice à leuws ébats heuweux.







PS : j'éditerais ce message pour qu'y apparaisse à la suite : la suite du livre. j'écrirais un nouveau message pour informer de la MàJ.

PS 2 : haaahahaha    si tu ne sais pas comment le prendre Alzah : pwend le paw dewwièwe !  
PS 3 : non je n'ai goûté aux chairs musquées.
PS 4 : elle coûte trop cher celle-là, j'préfères me consoler !
PS 5 : contre quelques kamas je peux changer le pseudo dont il est question

Satyre-Lipinpon a écrit:

Dans le pwochain épisode : de la fouwwuwe, des cawottes et du sex !

Tu vas nous upload une vidéo provenant de tes archives secrètes de ton ordi ?

On attend toujours ta vidéo de c** Satyre. Kestufous ?

Vous ai-je parlé de ma famille de Brousséliannes ? Que d'histoires ...
Mon oncle chasseur, Omar, a travaillé lorsqu'il était jeune (donc ça remonte) comme main d'oeuvre dans une ferme Osamoda. Il travaillait bien, et savait remuer le foin ! Si bien que, quelques mois après, la fille du propriétaire était prise de poid : pesante bedaine menaçante qui gonflait. Et avant que les propriétaires n'eurent remarqués, Omar s'était enfuit bien loin ! Sacré Tonton.
Toujours est-il qu'est né là bas un petit Satyre Osamoda.
Il a été élevé parmis les bêtes, avec un accent incompréhensible. Par contre, est parfaitement compréhensible à 15 mètres : son odeur animale.
Con comme un bouftou, il s'entendait si parfaitement avec eux que même le mariage n'a su l'en séparer. A être plus attentif à son troupeau qu'à sa femme, il n'est pas le père de ses enfants, qui heureusement ne lui ressemblent pas.
Un jour, un roublard déguisé en curé huppermage (ce qui est fréquent chez ces culs-bénis tous-beaux tous-propres) lui a venté des terres par delà trois montagnes où l'herbe est si grace qu'on y glisse comme sur une savonette. Il les lui vendait pour maudique somme.
C'est ainsi que Satyre-le-Lait les lui achetait pour toute son économie et s'en allait en transhummance avec son troupeau.
Bien évidemment, les terrains n'existaient pas, et on ne réentendit pas parler de mon neveu, qui dit-on s'est perdu avec son troupeau.

Cependant, alors que je travaillais mon alchimie en forêt (cueillait quelques champignons pour les infuser en tisane), j'ai vu passer d'un air vaguement familial un énorme monstre mi-humain mi-bouftou, armé d'un gigantesque marteau, et suivit de quelques dixaines de bouftous monstrueux. Je crois que ... j'ai retrouvé Satyre-le-Lait ! Aparamment, il a bien survécu, même si je doutes que son troupeau soit encore herbivore.

Après de longues batailles, je retournais à la nature me ressourcer.
Tenir un doyen de la forêt dans ses mains, ces arbres gigantesques desquels émane des flux magnétiques impressionnants.
Ces arbres que la sauvagerie elle même semble respecter dans leur aise ; dont le pacifisme qu'ils émanent atteint votre coeur sans avoir besoin de s'adresser à votre conscience.
C'est prêt de ceux-ci que je m'assieds, après les avoirs salués, pour regarder passer les nuages à travers les feuillages mouvants : lentement et plus lentement encore. J'inspire, j'expire, que ça.
Alors que le soleil touchait l'horizon qui en rougit, un bourdonnement envahit la forêt : des didgeridoos. Leur rythme était calme.
Je me levais, curieux, et marchait dans leur sens. Arrivèrent petit à petit des tamtams, calmes eux aussi.
La nuit s'installait, les ronces et les branches me ralentissaient, mais à travers la végétation, au loin, se distinguaient de mieux en mieux des lumières volantes.
J'arrivait bientôt vers des danseurs de feu, et des humains en tous genres qui échangeaient agréablement, prennent le temps.

Je me joignait à eux.
Petit à petit, le rythme s'accélère, les tam-tams dirigent l'esprit. La danse devient halletante, des cris et des visages se mélangent. C'est bientôt une trance, un état où ma consciense observe le reste de moi se laisser emporter par ce qui l'entoure. Efface la limite entre mon corps et le monde, ne sont qu'un agissant à l'unisson. Interdépendants.
J'ai été jusqu'à oublier le monde, moment où j'ai été inconscient, non endormi mais non conscient. Le temps lui, a continué. Puis j'ai dormi.

Je me rappèle de tout hier soir, pas forcément dans l'ordre par contre. Maintenant, je sais. Quelle histoire !
Le Dieu Sadida m'a fait don de masques. Ils ont servis des guerriers Zobals uns à uns, et sont marqués de leurs usages. Ils se joignent à moi quand je les appels, et notre volonté s'unit.
Le rythme consomme le temps. Mes pieds marquent le temps.
L'esprit suit le rythme, mes pieds sont l'extrémité où finissent mes sens : mon âme se meut par eux, frappe par eux.
Mon esprit repousse la volonté de mes adversaires, et protège.
Je n'y suis pas encore : je dois continuer ce périple dans le Monde des Douzes.

Tu l'as cherché loin la vidéo '--'